Guerre au Mali : les contingents africains se mettent en place
Dernière information :Maintenant c'est le passage de relais aux contingents africains et le retrait progressif de la force d'intervention française.
L'inconnue actuelle : que donneront les élections prévues pour le mois de juillet prochain ?
Il semblerait que la plus grande partie des djihadistes et troupes d'Aqmi, présents dans cette région, soit passée dans les pays voisins, pour échapper à la traque menée par le contingent français.
François Hollande a annoncé un début de retrait de l'armée française, à partir de mars 2013, si tout se passe comme prévu...
Résumé des épisodes précédents :
- Maintenant, les attaques aèriennes et les combats au sol s'intensifient dans le nord du pays, dans la région de Kidal, où se sont réfugiés bon nombre de djihadistes.
- Dans cette région les rebelles touaregs du MNLA prétendent vouloir coopérer avec l'armée française, contre les rebelles islamistes.
- Actuellement la ville de Gao est la cîble d'attentats suicides, pendant que les troupes d'intervention peinent dans les montagnes du nord du pays.
- Malgré tout, il reste des îlots de résistance, notamment autour de Gao, où les rebelles semblent vouloir pratiquer une tactique de harcèlement.
D'autre part, certains axes routiers ont été minés.
- Actuellement, l'armée française semble concentrer ses opérations en direction de Gao et vient de prendre Hombori, tandis que la rebellion faisait sauter un pont stratégique, pour l'arrivée des troupes de la coalition africaine.
- La prise d'otages au terminal gazier de Tinguentourine qui est situé à 40km d'In Amenas, dans la Wilaya d'Illizi, à 1600 km d'Alger, a été conclue par l'assaut donné par l'armée algérienne.
Celui-ci aurait fait plus de 30 morts parmi les otages et plus d'une dizaine dans les rangs des islamistes.
- Actuellement l'armée française, en plus des frappes aériennes, intervient au sol, face à des adversaires plus déterminés que ce qu'on pouvait prévoir.
- Les milices armées islamistes et touaregs semblent avoir subies de lourdes pertes, lors des premières frappes aériennes et les survivants s'être enfuis dans le désert du nord Mali.
- La France vient brusquement de décider une intervention au Mali, alors que jusqu'ici elle semblait être sur une position plus attentiste.
Le président Hollande disant même qu'il ne voulait plus des comportements liés à la Françafrique.
- Il semble bien qu'il y avait le feu et que l'armée malienne n'était pas en mesure de contenir un raid en cours, des milices islamistes d'Aqmi et de ses alliées régionaux, visant directement la capilale Bamako.
- En effet, les milices islamistes on voulu prendre de vitesse le déploiement d'un contingent africain autorisé par l'Onu.
Même si Hollande ne veut plus des comportemants anciens de la France en Afrique, les ressources en uranium du Mali, entre autres, ne doivent pas le laisser indifférent, lui et ses conseillers.
- L'intervention en cours semble avoir stoppé l'offensive des rebelles islamistes. Des troupes des pays voisins semblent être venues en soutien des forces françaises engagées dans ce conflit.