La chute de MEGAUPLOAD, fortement aidée par le FBI, c'est la fin d'une multinationale du "black business", mais des dizaines d'autres sont déjà là, pour prendre le relais.
Tant que les gouvernants n'auront pas compris qu'à l'époque de la culture sur support numérique, les majors n'ont plus leur place et que chacun peut librement diffuser ses oeuvres sur internet, des entreprises peu scrupuleuses profiteront du système.
On doit pouvoir maintenant consommer de la culture sur support numérique, par simple abonnement, comme pour les livres à la bibliothèque.
Et voilà le débat sur la licence globale qui ne devrait pas tarder à refaire surface !
En attendant vrais pirates et défenseurs d'un accès libre et gratuit à la culture, comme le collectif clandestin Anonymous, organisent la riposte aux actions répressives des états.

Des gens comme Sarkozy qui se réjouissent un peu vite de la chute de Megaupload, n'ont toujours pas compris que les droits d'auteur doivent être payés aux artistes, à un tarif raisonnable,mais en dehors des multinationales de la culture qui maintiennent un système de prix élevés et une monétisation à outrance de l'accès à la culture
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Ci-dessous : le point sur la saga Megaupload en vidéo et la revue de Presse sur le piratage sur internet.

Les vidéos : La chute de la maison Megaupload